Voilà un film dont je me souviendrai, mais comment dire ? C’est un film violent, avec des scènes de sexe crues (particulièrement celle du viol), filmé comme un porno des années 80, avec des acteurs de films pour adultes et une qualité de jeu qui s'en rapproche. C’est là que le bât blesse : le jeu des acteurs est médiocre et le scénario, faible. Il s'agit d'un road movie, et c’est la détresse et la violence de ces deux « héroïnes » dans leur fuite suicidaire qui m’ont captivée. Malheureusement, si le film a un message dans toute cette débauche, je ne l’ai pas perçu. Je ne suis pas mécontente de l’avoir vu, car je crois que l’expérience en vaut la chandelle. Il a le mérite de ne laisser personne indifférent. Dans notre société de plus en plus policée et bien (?), pensante, il représente un coup de pied là où ça fait mal, et c’est là que ça fait du bien.

Michèle

Laurence Anyways, c’est l’histoire d’un amour impossible. Le jour de son trentième anniversaire, Laurence, qui est très amoureux de Fred, révèle à celle-ci, après de longues circonlocutions, son désir de devenir une femme.

Michèle

Série dramatique britannique pour le moins originale. Une transsexuelle est tueuse à gages pour financer son opération de réassignation. Mais son passé la rattrape : son ex-femme, décédée, lui laisse un fils. La voilà confrontée à un rôle de parent, alternant entre la douceur d’une mère et des méthodes viriles. Une saison, six épisodes, seulement... Une dernière remarque : je n’ai jamais vu une série aussi bien tournée. Les cadrages sont d’une précision narrative remarquable. À voir et à revoir.

Michèle

Belle histoire d’amour entre une femme conservatrice et guindée, pas si prête que ça pour un mariage. Elle sera troublée par une jeune femme libre travaillant dans un cirque. Ce film est tourné comme un conte de fées. J’ai adoré. Pascale Bussières, l'actrice principale, est pour moi le genre de femme qui me donne envie d’être une femme.

Michèle

Amour, complot, trahison, folie... J'ai aimé les robes aux tailles cintrées. Juste un petit peu trop long.

Michèle

"Le sexe nous fait homme ou femme... ou les deux à la fois." Cette phrase sur la pochette me hérisse ! Mais le film vaut le détour ; le sujet est traité avec délicatesse, peut-être un peu trop d'ailleurs, car il n’a pas été exploité comme il aurait pu l’être (ou dû l’être ?). Du bon cinéma, et le sujet de l'intersexualité n'est pas évident à traiter.

Michèle

Un ultra-résumé : C’est l’histoire d’une officière de marine mise à pied pour homosexualité qui rentre chez elle, dans une petite ville quelque part aux États-Unis. J’ai aimé le personnage principal, Alexandra, avec cette pointe de masculinité qui fait sa force et sa faiblesse. Dans le film, les machos en prennent plein la g....., au propre comme au figuré. Même si le patriotisme américain est pour moi trop présent, il était inévitable, j’ai bien apprécié le film.

Michèle

Synopsis (source: Wikipédia) Pour les dix-sept ans de son fils unique Esteban, Manuela l'emmène au théâtre voir Huma Rojo, son actrice préférée, dans la pièce Un tramway nommé Désir. Mais la soirée vire au cauchemar : cherchant à obtenir un autographe de la vedette, Esteban est mortellement renversé par une voiture sous les yeux de sa mère qui ne peut rien faire. [...] et part pour Barcelone, ville qu'elle avait quittée 17 ans plus tôt, enceinte et seule. Elle se donne alors deux objectifs : retrouver le père d'Esteban (un transsexuel qui porte le même prénom que son fils mais se fait appeler Lola pour se prostituer), et obtenir l'autographe d'Huma qui joue sa pièce à Barcelone[...]
J'ai beaucoup aimé le film, drame, truculence, sensibilité sont au rendez-vous. Un classique à voir ou à revoir.

Michèle