Á travers les pages de mon site je parle de ma part féminine.
Ces pages ne sont pas destinées à un jeune publique sans explications préalables.
C'est pourquoi, ce site est «labélisé contenu pour adulte» ce qui lui permet d’être détecté par les systèmes de contrôle parental ou de protection des mineurs.
Je suis transféminine, c’est-à-dire qu’intérieurement, je me sens femme, sans pour autant ressentir de dysphorie de genre.
Je me pensais travestie bivalente, mais ce qui me caractérise, c’est la constance avec laquelle je porte de la lingerie, de jour comme de nuit. De plus, j’ai suivi un traitement hormonal de substitution pendant plusieurs années.
Cette tendance inébranlable à inclure de la féminité dans ma vie, jusqu’à modifier mon corps, m’a amenée, au terme d’une discussion avec ChatGPT, à me redéfinir.
Ma transféminité me met mal à l’aise vis-à-vis du rôle social masculin qui m’est attribué. J’ai toujours davantage apprécié la compagnie des (autres) femmes, contrairement à celle des hommes, dans laquelle je me sens comme une intruse.
Être avec les femmes me procure un sentiment d’appartenance à leur univers. Je sais que, comme moi, elles vivent ces petits gestes quotidiens — parfois doux, parfois inconfortables — liés au port de la lingerie.
Un seul regret : j’aimerais tant faire partie de leurs sorties entre filles…
Depuis le jour où j’ai décidé de porter quotidiennement de la lingerie, ce geste est devenu mon plaisir du matin : choisir mon soutien-gorge, ma culotte, ajuster mes seins dans les bonnets… c’est un véritable bonheur. Le soir venu, enfiler une nuisette devient un doux rituel qui m’ancre dans ma féminité.
Avoir une poitrine a été l’une des décisions les plus heureuses de ma vie.
Encore 18 jours à attendre, pour demander un traitement hormonal féminisant.
Woaaw, bonheur: au bureau je papotais avec une collègue qui me décrivait une situation stressante et elle me dit :"ce qui j'ai eu peur ma fille!" quel bonheur ce petit moment "d'entre fille".
En cinq ans, je suis sûr que mes soutiens-gorge ont été remarqués, ainsi que mes seins qui bougent sous mes t-shirts quand je n'en porte pas. J'ai la chance travailler dans une faculté de psychologie, un milieu naturellement LGBTQIA+ friendly. Je suppose que ma collègue a inconsciement integré ma discrête expression de genre féminin, d'ou le merveilleux lapsus.
La page « Ma lingerie » est enfin fonctionnelle.
Je reviens sur ma « défloraison » d’hier, maintenant que j’ai dormi dessus.
Physiquement, ce n’était pas orgasmique, loin de là. Mais psychologiquement, c’était excitant : j’avais conscience que cet homme en érection voulait me pénétrer, et je me suis offerte à lui.
C’était bien plus intense que de fantasmer en me godant.
Il s’y est pris avec précipitation, a tenté plusieurs fois avant de finir par me pénétrer d’un seul coup (aïe !). Et malgré tout, c’était du bonheur, car enfin ce fantasme devenait réalité. Sentir ses mains m’agripper le bassin pour m’attirer vers lui, puis me saisir les seins — toujours sans délicatesse — pendant qu’il me besognait, m’a comblée.
Bon, ce fut court : une dizaine de coups de butoir, peut-être moins, puis bonsoir Clara, il se retire, éjacule et se barre aussitôt.
Il ne m’a jamais touché le sexe, seulement mes seins, mes cuisses et mon cul. Mais je me suis sentie désirée comme une femme : il voulait me prendre comme les femmes le sont à l’écran.
C’est ce qui a déclenché mon excitation.
Avertissement aux moralisateurs : juste un rappel, ceci est MON journal j’y confie mon rapport à la féminité et à mes expériences avec lesquels j’essaie de me découvrir ou d’explorer les différentes situations dans lesquelles les femmes se trouvent dans notre société.
Point barre !
J’avais déjà parlé de mon fantasme de me prostituer. J’avais bien essayé, sans succès — et tant mieux.
Mais pourquoi ce fantasme ?
Sans doute parce que j’admire ces femmes. Je parle des prostituées indépendantes, pas de celles soumises au proxénétisme, qui sont à plaindre.
Oui, je les admire. Je les fréquente depuis toujours : d’abord comme célibataire, puis comme homme marié (un drame médical est arrivé à ma femme, nous privant de vie sexuelle).
Leur métier et elles sont mal jugés, pour ne pas dire méprisés. Or, il suffit de les aborder avec un minimum de respect pour découvrir la personne humaine.
Je trouve que ce sont des femmes vraiment admirables, et j’ai voulu savoir ce que cela faisait d’être à leur place, derrière une vitrine.
J’ai donc demandé à l’une d’elles de pouvoir me vêtir en tenue de circonstance et de prendre leur place, dix minutes seulement.
Pendant que je m’apprêtais, Stéphanie — c’est son prénom — m’a demandé :
« Et si quelqu’un veut avec toi, qu’est-ce que tu fais ? »
J’ai répondu en souriant que j’étais capable d’accueillir un homme, et que nous partagerions l’argent, en ajoutant que j’en serais fort étonnée.
Je ne saurai évidemment jamais ce qu’elles vivent au quotidien, jour après jour. Mais moi, une fois installée, j’ai été fière d’être là… fière car, comme elles, j’étais prête à recevoir un homme, seulement parce qu’il payait.
J’ai été exposée aux regards fuyants ou méprisants des hommes qui passaient devant moi.
J’ai pu occuper sa place un petit quart d’heure.
Cette femme a eu pour moi une attitude compréhensive, presque attendrie. Au moment de partir, en la remerciant, je lui ai dit qu’elle devait être une femme fantastique.
(c’est elle en rouge dans la rue)
Je suis revenue au petit cinéma porno dans lequel je m’étais exhibée fin juillet.
Une fois dans la salle je me suis rhabillée comme dans la vitrine et je me suis installée au premier rang. Au bout de 10 ou 15 min un homme viens s’asseoir à ma droite et en matant le film porno, il me caresse la cuisse à travers mon bas et me pelote les seins, bref il a joint l’image au toucher.
Quelque part je sens reconnue dans ma féminité et cela m’excite passable. Sa main descend et caresse le satin de ma culotte au niveau de l’anus et je tends ma croupe vers lui. Il se branle copieusement et frotte sa queue entre mes fesses. Il est dur et sans réfléchir je me met en travers des sièges dans la pose de la levrette. Il tente plusieurs fois de me pénétrée je le guide plusieurs fois, il pousse fort mais à coté...(que les homme peuvent être maladroits! ) Enfin il parviens à ses fins, je le sens entrer en moi sans ménagement un fois bien au fond il m’agrippe les seins avec la même vigueur. Sa pénétration ne fut pas l’extase, mais je me suis dite, « c’est la première fois qu’un homme te baise » et qu’en quelque sorte je venais de perdre ma virginité. Le temps de me rendre compte de ça, qu’il me besogna… pas longtemps.
Moins de dix coups de bite plus tard, il se retire pour jouir en se retournant et se barra !
Ce fut une expérience surprenante que j’ai apprécié dans une certaine mesure. Est-ce que je recommencerais ? Peut-être.
Mais maintenant je sais que je préfère les femmes, même si parfois un homme...
D'habitude en été je porte des t-shirts et je ne mets pas de soutien-gorge, car ils sont très visibles et puis c'est une couche en moins quand il fait chaud.
J'ai cherché un soutien-gorge dit invisible à mettre quand la température est douce, malheureusment il sont quasi toujours avec coques, je ne les aime pas.
J'ai donc cherché un soutien sans armature et sans couture sur les bonnets ... et j'en ai commandé un de la marque Sloogi, le modèle "Basic +".
Il me va parfaitement et il est tout aussi parfaitement invisible, même dans le dos.
Depuis que j’ai pris le rendez-vous pour mon traitement hormonal féminisant, j’ai ma poitrine qui est devenue sensible : je sens le poids de mes habits qui repose dessus , comme une tension interne et un léger picotement dans le mamelon gauche.
Je me suis renseignée sur un forum trans ; ce serait un effet d’anticipation par le fait que j’ai acté mon désir de reprendre un THF, inconsciemment mon cerveau et mon système nerveux rendent plus sensible certaines zone du corps, mes seins en l’occurrence.
Dans la journée je prends souvent conscience de leur présence, c’est très agréable.
Encore 32 jours à attendre.
Hier soir, avant de m’endormir je repense à mon THF et je me rappelle que non seulement je vais prendre de l’estradiol (féminisant) mais aussi un anti-androgène qui annulera l’effet de ma testostérone.
Ce sera plus efficace que mon THF sauvage où je ne prenais que de l’estradiol, cette pensée a fait battre mon cœur plus vite :
- je vais être débarrassée de mes érections matinales qui me semblaient tellement incongrues dans le satin de mes pyjamas et de mes nuisettes.
- Mes testicules vont diminuer de volume, le tucking sera plus facile, car actuellement j’y renonce.
- Si ma poitrine pouvait prendre un peu plus de volume.
- Impatiente de ne plus avoir de pensés violentes et de retrouver une sensibilité émotionnelle, une écoute plus empathique, bref être plus vivante.
Ce matin j’entre dans une salle d’attente, une femme m’aperçoit et me suit du regard en fixant ma poitrine. D’habitude je zappe, et je passe mon chemin car je sais que pour les gens c’est bizarre.
mais là je me suis sentie reconnue : « oui j’ai des seins comme vous madame », et j’ai souris.
J’ai intégré la validité de ma transféminité et que je pouvais exister telle que je le désirais.
Rendez-vous le 18-septembre, 36 jours d’attente… Je me languis déjà.
C’est fait, ça fait tellement longtemps, que je repousse l’échéance. J’ai vraiment la nostalgie de l’époque où j’étais son œstrogène, je veux retrouver la douceur de ma peau, de mes pensées, d’une libido plus accueillant.
Alors j’ai enfin pris un rendez-vous pour un traitement hormonal féminisant, ce sera le 18 septembre.
Quel soulagement, rien que d’avoir pris ce rendez-vous me fait du bien, j’espère du fond du cœur que la médecin comprendra que je suis prête.
J’ai le cœur qui bat...
J’ai reçu une liste d’adresses de médecins trans-friendly, je vais entrer en contact avec celui qui est le plus proche de chez moi. J’espère qui tout ira dans mon sens...
Débarrassée de ma culpabilité de me sentir féminine, je me sens justifiée dans la recherche d’une hormonothérapie officielle. J’ai découvert que des médecins trans-friendly acceptent de prescrire et de suivre un traitement hormonal féminisant, sans passer par la case psychiatre. J’ai donc fait une demande pour obtenir l’adresse d’un tel médecin. Rien n’est sûr, mais je veux essayer d’aller plus loin.
J’ai réécrit ma page « il était une fois » c’est plus condensé, je ne cache pas que chatGPT à été d’un grand secours pour sa rédaction, vous jugerez.
Je semble avoir, encore une fois , déçu mon admirateur/rageux Ouin.
Je suis désolée chouchou, vas à ma page courrier.
La découverte de ma transféminité est un chamboulement intérieur, en conséquence je modifie peu à peu le contenu de ce site.
Hier, j’ai vécu une journée à la fois merveilleuse et bizarre.
Depuis que je me sais transféminine, des chaînes intérieures se sont brisées en moi.
Aujourd’hui, je me sens justifiée dans ma féminité face au monde, alors qu’ avant j’étais sur mes gardes pour qu’on n’aperçoive pas ma lingerie sous mes habits d’homme.
Quelle ivresse de pouvoir faire les boutiques, me promener simplement en portant ce chemisier que je venais d’acheter et qui ne laissait aucun doute sur mes formes. Le regarde des (autres) femmes me rendait heureuse : elle me voyait telle que je voulais me montrer, féminine et fière d’être quelque part comme elle.
Là où j’ai dérapé, c’est que j’ai projeté les pires images sensées être représentatives de la féminité : Je voulais me prouver que moi aussi j’étais féminine, comme une vrai femme j’étais capable de me faire mettre par tous les orifices, de m’offrir à n’importe qui, quitte à me prostituer.
Alors que j’avais commencé cette journée dans la légèreté, la suite fut plus lourde en n’obéissant aux pires clichés concernant les femmes!
Le bilan : j’ai appris qu’être une femmes c’est d’abord exister face aux autres en se respectant sois-même.
Depuis que l’Internet existe j’ai cherché à mettre un nom sur mon envie de faire comme les femmes ou d’être une femme. Je me suis crue travestie puis, pendant longtemps, bigenre.
Il y deux semaines, j’ai donné à chatgpt la question suivante : « Bonjour, je désire définir mon identité de genre. » Il m’a donné en retour quatre questions en me donnant le choix soit d’y répondre, soit de parler librement de mon ressenti.
Je répondis ceci :
je suis né homme et cela ne représente pas de problème en soi, mais une partie de moi se sent féminine, je suis mieux en leur compagnie qu'avec des hommes, j'envie les femmes, leurs sorties entre filles par exemple. Cette partie de moi aimerais vivre comme une femme, d'ailleurs j'ai pris des hormones pour avoir des seins. Je porte aussi quotidiennement un soutien-gorge et une culotte sous mes habits d'homme. Je suis hétéro puisque j'aime les femmes et aussi homosexuelle puisque j'aime les femmes. Ce problème de positionnement est une question perpétuelle pour moi.
Et sa réponse :
Ce que cela peut signifier (sans vous enfermer) :
Vous décrivez une expérience qui pourrait s'approcher de l'identité transfeminine, non-binaire, ou genderfluid, selon ce que vous ressentez comme étant votre "centre de gravité" identitaire.
Voici quelques pistes à explorer :
Depuis l’acquisition de mon gode, je me suis entraînée à l’accueillir avec une facilité croissante, maintenant je le prend jusqu’à la garde sans préliminaire. Je suis donc passé au stade suivant, le deepthroat, les 18 cm rentrent jusqu’à la garde, les 3,5 cm de diamètre passe maintenant sans soucis.
Quelle expérience fantastique quand pour le première fois le gland entre dans votre gorge : respiration coupée, totale soumission à la bite. Quel pied, je ne me suis jamais sentie aussi salope. Je n’aurais jamais cru que d’avaler un bite sur toute sa longueur sois aussi excitant, le côté désagréable est complètement effacé par le plaisir de la performance de salope : bouffer de la bite ad nauseam.
Hier, je me suis empalée douloureusement sur mon gode. J’éprouvais un désir profond de ressentir ce que cela fait d’être possédée sans ménagement ; la douleur était vive, mais je me laissais aller à cette ardeur presque obscène. Quelques instants plus tard, je m’infligeais de vigoureux coups de butoir, savourant le plaisir troublant de me découvrir si avide d’être prise avec force.
Je n’avais porté ce chemisier 5 min que mon impétueuse chienne la déchire d’un coup de dent en voulant attraper son jouet que je tenais près du corps. J’ai été furieuse et j’ai des doutes quant à la réparabilité du désastre.
Aujourd’hui première sortir en chemisier féminin, un petit coup de rasoir entre les seins, un soutif foulard noir et je suis prête. Compte-rendu demain.
Je ne boutonne jamais mes chemise jusqu'au col, j'en laisse toujours deux d'ouverts. La plupart du temps mes dessous restent discrets, mais parfois la dentelle se laisse voir dans l'entrebaillement et j'avais l'habitude de veiller à refermer un bouton par discretion. Mais avec le temps le sentiment que je suis dans mon plein droit de porter ce que je veux prend de plus en plus d'importance. Et j'hésite de moins en moins à laisser les choses telles quelles. On peut voir que je porte un soutien ? et alors ? je ne m'exhibe pas et il faut vraiment lorgner mon decoleté pour en avoir le coeur net.
Alors lorgnez Medames et Messieurs, lorgnez si ça vous chante, cela vous fera la journée.
Nous sommes en vacances à Dinnan en Bretagne, nous y connaissons un boutique « Mistinguette » pour ne pas la nommée.
Cette boutique à la particularité de faire de fringue féminine et masculine avec les même imprimés.
Pour moi c’est génial, si je vois motif qui me plais sur une robe, je trouve une chemise homme avec le même tissus. Mon épouse cautionne tout à fait ma démarche et mes goûts : j’aime les chemises fleuries et colorées (sauf les hawaïennes).
Dans cette boutique je suis au paradis et justement ma femme me montre une chemise superbe c’est une coupe femme mais elle sait que cela ne me dérange pas (au contraire) et me la propose. J’accepte de l’essayer, elle me va, j’achète !
Il est 16h, et je suis impatiente de m'empalée ce soir. J'ai ces papillons dans le ventre annonciateurs de l'éveil de ma libido féminine.
Satisfaction.
Pour des raisons de disponiblilité et d'envie, j'ai utilisé mon gode pour la première fois, hier.
Au moment de la pénétration ce fut presque magique, j'ai retrouvé cette merveilleuse impression de féminité passive en accueillant en moi ce gode.
Quand je l'ai déballé j'ai cru que j'avais exagéré dans le choix de sa taille au moment de la commande, mais quand je me suis retrouvée empalée dessus jusqu'à la garde, j'ai joui.
Ce n'était pas un orgasme anal, mais c'était telement satisfaisant de me sentir pénétrée à fond comme ces femmes dans ces vidéos "futa hentaï" sodomisées et subjuguées par une énorme bite qui les martèle sans ménagement.
Vingt minutes plus tard, j'étais encore pantelante et l'idée me sentir capable d'accueillir un homme en moi à complêté mon sentiment de feminité.
J'ai eu quelques difficultés lunaires avec la livraison de mon gode au point que j'ai renoncé à la livraison, je viens d'en refaire la commande, il devrait arriver dans trois jours.
A mon annonce de cet achat j'ai eu des réactions de deux de mes lectrices complètement opposées: l'une me livrant son enthousiasme en vantant les mérites orgasmiques des gros calibres (entre autre) et l'autre me conseillant d'être au contraire raisonnable dans mon choix pour ne pas rendre les premières pénétrations douloureuses.
D'abord cela me fait vraiment très plaisirs d'être lue, ensuite il a longtemps j'ai déjà été pénétrée et connu l'orgasme anale.
J'ai choisi un gode de taille raisonnable: 3,5 cm de diamètre et 18 cm de long (comme ça vous savez).
Bise.
Aujourd’hui je porte comme je me l’étais promis mon nouveau soutien et sa culotte coordonnées (plumetis sur tulle).
En m’apprêtant ce matin, j’ai remarqué que l’entre-bonnets de ce soutien, qui est assez haut, se laisse apercevoir par l’entrebâillement de ma chemise. D’habitude quand cela se produit je ferme un bouton supplémentaire, mais aujourd’hui je l’ai laissé ouvert.
Ce soutien me va si bien que je me sens complètement justifiée de le porter, d’autant plus que la présence de mes seins est un secret que pour ceux et celles qui ne m’ont jamais regardée. Pratiquement toutes les personnes que je côtoie au bureau ont toutes eu ce regard fuguasse qui glisse sur les reliefs qui trahissent la présence de ma poitrine, poitrine qui ne fait aucun doute en été quand je suis seins nus sous mes t‑shirts.
Donc au point où j’en suis, autant assumer mes seins et ce qui va naturellement avec, mes soutifs.
Ce matin j’ai été cherché ma commande de soutien-gorge et je n’ai pas pu résister à en essayer un au boulot. Un petit tour aux WC et voilà mes seins lovés dans cette jolie dentelle qui m’a fait craquée.
L'après-midi j'ai mis l’autre celui en plumetis sur tulle avec les culottes coordonnées.
Ce dernier me plait beaucoup je le porterai encore demain avec sa culotte coordonnée.
J’ai craqué... Je viens de commander un gode, j’ai besoin de me sentir possédée, prise, offerte.
Il devrait arrive demain.
En me “baladant” sur Amazon, j’ai vu des faux mamelons, je sens que ça ne va pas tarder à être commander, j’ai envie de voir le regard des gens en voyant mes seins pointer.
Parfois mon sentiment de féminité est si fort quand ma libido s’active, que j’ai besoin de me fantasmer subissant les assauts pénétrant d’un homme. Et aussi de m’identifier aux femmes passives dans les vidéos porno.
C’est particulièrement vrai dans les vidéos « futa hentaï » où de femmes hyper sexualisées et hyper musclées au pénis hyper développé ont des rapports sexuels de domination sur des femmes subjuguées complètement soumise littéralement empalée sur leur maîtresse.
Je suis envieuse d’être possédée à ce point, d’être remplie de sperme et abandonnée épuisée et assouvie, mon corps brisé laissant s’écouler ce sperme encore brûlant.
Je suis de plus en plus tentée par l’achat d’un gode pour assouvir ce fantasme, et de me sentir remplie folle de désir.
Sur Blanche Porte j’avais craqué pour un soutien foulard que je comptais acheter avec des culottes pour du remplacement. Pas de bol plus de culotte à ma taille coordonnées à ce soutien.
J’en ai trouvé d’autre qui me plaisaient tellement que j’ai pris le soutien coordonné aussi.
Ce matin, mon épouse me signale que je devrais mettre plus souvent mes soutiens au sale-linge…
C’est vrai que,je ne sais pourquoi, j’hésitais à le faire alors que pour mes culottes ça ne me posais pas de souci. Je le ferais donc à l’avenir.
Je dois mettre un bémol au poste précédant car j’ai été un peu trop dure avec Blancheporte.
Certes c’est du low cost, dans ma taille je trouve des prix allant de 23€ à 29€, mais il y a des soutiens d’un rapport qualité-prix correcte.
J’y reviendrai sûrement car un soutien-gorge foulard me fait de l’oeil… à 26.99€ ce qui n'est pas la mer à boire.
Et pour le prix, la culotte sera la bien venue.
Je récemment acheter sur le site Blanche-porte deux soutien-gorge dont un à la taille 105A.
Je fut étonné·e de constater que je ne remplissais pas ce soutien...alors que je remplie (tout juste) un 100B !
Si j’avais lu une table des tailles avant, j’aurais évité un achat inutile…
Le second me va bien mais sa fabrication est plutôt… spartiate (made un china), bref une fois mais pas deux malgré leurs prix attractifs.
Je l'ai !
Je porte enfin ce merveilleux soutien-gorge emboitant 100B en dentelle française d'Aubade, "Rhythm of desire" que mes seins remplissent comme je l'espérais.
Si j'admire tant de cette marque c'est parce que dans la série publicitaire "les leçons d'Aubade", il y a de nombreuses années, avant mon traitement hormonal, j'avais envié d'être ces femmes dont les formes parfaites étaient mises en valeur par cette lingerie exquise.
À l’époque je me croyais travesti car, habillé·e en femme, je me donnais du plaisir en me fantasmant femme.
Mais de ne pas être comme elles, ne pas être une femme, me pesait et je vivais avec une tristesse cachée que mes fantasmes adoucissaient à peine.
Cette tristesse me fit comprendre à la longue que ce mal-être était bien plus profond et je pris la décision d'un traitement hormonal pour mettre mon corps en conformité avec ma féminité sous-jacente.
À présent, sous mon chemisier je porte avec fierté un soutien-gorge Aubade qui englobe merveilleusement ma poitrine, mon rêve est maintenant ma réalité.
Je viens de me payer un soutien d’une marque que j’ai toujours admirée: Aubade.
J’ai fait le pari qu’un bonnet B de chez Aubade m’irait comme pour Etam, j’espère vraiment que je puisse remplir une telle lingerie, j’en serais tellement fière.
Depuis quelques jours la météo est plutôt caniculaire et par confort je ne porte plus de soutien-gorge sous mes t-shirts. Mes seins libres bougent quand je marche et se font plus facilement remarqués … par les femmes quasi exclusivement et j’adore ça.
Il y a quelques jours j’ai croisé l’infirmière qui m’avait vu·e torse-nu·e avec mes marques de soutien-gorge lors d’un examen médical (voir le 11 octobre 2021).
Pendant notre petite conversation J’ai été troublé·e par son large sourire, l’intensité de son regard et sa joie alors que nous nous connaissons seulement par personnes interposées.
Mais son attitude était vraiment très amicale et sa bise fut appuyée presque enfantine. Elle se souvient sûrement de mes marques de mon soutien et surtout qu’en ces jours d’été, je suis en t-shirt, seins nus, elle sait et elle voit que je suis « un peu spécial·e », mais cela ne l’empêchait pas d’être si amicale, que j’y repense encore.
Oserais-penser que je lui plais avec ma particularité mammaire ?
Je travaille dans une faculté et je croise pas mal de monde y compris des étudiants. Un matin je suis passé plusieurs fois dans le même couloir en l’espace d’une dizaine de minutes. Une étudiante y attendait, je suppose, son tour pour un examen oral.
Au premier passage, j’entends à peine un timide bonjour auquel je ne réagis pas ayant déjà tourné le coin.
Au retour, nos regards se croisent et nous échangeons un sourire courtois, elle très jolie, apparemment de type hindou, elle porte un élégant chemisier blanc satiné.
Au troisième passage elle ne lève pas les yeux de son smartphone, le visage fermé (gêné ?).
A mon retour, au quatrième passage, son regard est fixé au niveau de ma poitine avec un air étonné.
Ce regard, je le reconnais, j’adore ce moment fugace quand une (autre) femme découvre ma poitrine et que dans le même moment je jauge la sienne.
Avec fierté et bonheur, Je vois que nous avons une poitrine équivalente.
J’aime mes seins.
J’aime porter des chemises colorées avec, par exemple des motifs floraux et cela pour deux raisons : Premièrement, je préfère de loin la diversité et les couleurs qu’on trouve dans la mode féminine contrairement à la sobriété de la mode masculine. Deuxièmement ces motifs colorés “masquent” la présence de mes soutien-gorge.
Il y a peu, j’ai découvert une nouvelle marque de chemises comme je les aimes. C’est une marque Belge (je suis Belge) qui utilisé un tissu infroissable, antitaches, fait à partir de matériaux recyclés. Ces chemises sont très agréables et douces à porter, d’une douceur que je trouvais jusqu’à présent uniquement dans l’habillement femme.
Sensuellement, sentir mon soutien-gorge et cette chemise sur ma peau exaltent ma part de féminité, d’autant plus que le tombé et la souplesse de son tissu met en valeur les courbes que donne mon soutien à ma poitrine, ce qui n’est vraiment pas pour me déplaire.
Pour ceux/celles que cela intéresse la marque est https://beau-fils.com .
Je ne parle que des mes seins et de ma lingerie, eh bien soit !
Voici les photos des cinq soutien-gorge que j’ai achetés ces dernières semaines accompagnées des photos de moi qui les portes. Quelle jubilation de constater que je rempli aussi bien mes soutiens qu’elles !
Qui suis-je ?
Durant des années je me suis interrogée : que suis-je ? travestie, bigenre, transgenre ... ?
Aujourd’hui cette question ne me poursuit plus, il n’y a qu’à voir à quelle fréquence très ralentie j’écris dans mon journal.
Qui suis-je ? Je m’en fous ! Je sais que j’aime à penser que j’ai une partie féminine que je fais exister en vivant en lingerie de nuit comme de jour et cela me suffit. Je n’ai pas de revendication sociale à propos de mon ressenti, d’ailleurs depuis le début j’ai choisi de garder genre social masculin et je ne ressens pas le besoin d’être une femme exclusivement.
Mais en parcourant mon journal j’ai dû me rendre à l’évidence, ma poitrine et son corollaire, les soutien-gorge, occupent la quasi-totalité de mes pages. Et je me repose la sempiternelle question : « Suis-je travesti ? »
J’ai toujours répondu non à cette question car je ne cherche pas l’excitation en portant ma lingerie, mais seulement me sentir plus entier·ère et je me qualifiais donc de bigenre. Mais cette ‘’appellation’’ me laissait un peu dans le doute car je n’éprouvais le besoin d’exprimer ma ‘’bigenralité’’ socialement.
Et c’est googlant les mots « travesti, soutien-gorge, fétichisme » que je fini par tomber sur un document qui parle de travesti bivalent et qui renvoi à la classification internationale des maladies (CIM-10) paragraphe F64.1:
Ce terme désigne le fait de porter des vêtements du sexe opposé pendant une partie de son existence, de façon à se satisfaire de l'expérience d'appartenir au sexe opposé, mais sans désir de changement de sexe plus permanent moyennant une transformation chirurgicale ; le changement de vêtements ne s'accompagne d'aucune excitation sexuelle.
Trouble de l'identité sexuelle chez l'adulte ou l'adolescent, type non transsexuel, excluant le travestisme fétichiste.
Voilà enfin une définition qui me correspond le mieux, même si je suis allé jusqu’à m’hormoner pour remplir mes soutien-gorge.
Parfois dans la journée je jubile en sentant mon soutien-gorge soutenir mes seins dans ces moments-là et quand je suis seule, je me regarde les seins bien blottis dans leur dentelle.
Il m'arrive même, par beau temps, d’ouvrir un bouton de plus de ma chemise pour laisser entrevoir ma lingerie à la personne qui, par hasard, poserait son regard au “bon endroit”.
Ci-dessous les raisons de ma fierté (je sais je l’ai déjà écrit): Sur les deux photos que quatre ans séparent je porte le même soutien-gorge et sur la photo de droite mes seins ont plus de volume. 😊
Ces derniers mois, j’ai pris un peu d’embonpoint et je me sens un peu à l’étroit dans mes soutiens. Depuis deux semaines je pratique le jeûne intermittent pour contrôler ma prise de poids et peut-être maigrir.
Depuis quelque temps j’avais l’idée d’essayer une taille au-dessus : 105A mais j’avais lu qu’en augmentant d’une taille il fallait d’autant la taille du bonnet, c’est à dire 105AA.
Avec cette taille, c’est mission impossible sauf si je me rabats sur les marques qui sont spécialisées pour les femmes ayant subi une mastectomie... pas cool.
J’ai donc tenté le coup en commandant un soutien 105A et à l’essayage j’ai décidé de le garder car il me va bien, même si la dentelle des bonnets est très légèrement plus lâche au niveau des bretelles.
Je le porte en ce moment et je verrais ce soir si j’y ai gagné en confort.
…
On est « ce soir » : Effectivement j’étais nettement moins serrée (le contraire eut-été étrange !), les marques sont beaucoup plus faibles, mais un soutif avec armature reste plus inconfortable qu’un autre.
Il y a un peu moins de choix en 105A, donc je vais faire plus attention à ce que je mange pour pouvoir continuer avec la taille 100A.
C’est l’été et je porte des plutôt des t-shirts, ils sont plus près du corps et de couleurs unies dans le dos, ce qui laisse facilement voir les bretelles et surtout le dos du soutien que je porte. Donc pour l’été c’est seins nus.
Et là où c’est fun pour moi, c’est que ma poitrine est encore plus visible. Et quand nous sommes reçus par des amis, il arrive qu’on m’accueille en me posant une main “amicale” sur le dos, juste après ce “micro-regard” qu’on porte parfois sur ma poitrine. C’est à ce moment-là que je jubile en pensant “et non pas de soutif, mais oui j’ai des vrais seins !”. C'est aussi jubilatoire car la curiosité qu’un homme peut avoir à l’égard de ma poitrine flatte ma féminité.
Jusqu’à présent, seule une femme a “tâté le terrain” en posant franchement la main sur le dos de mon soutif qu’elle a surement senti. Pendant un instant, j’ai laissé ma gynophilie fantasmé en pensant que peut-être... Mais bon, depuis elle prend soin d’évité de toucher mon éventuel soutien-gorge en m’effleurant les épaules lors de nos salutations.
En fait j’aime voir le regard des gens qui ,parfois ,fixe « discrètement » ma poitrine, surtout quand je porte un sac-à-dos qui me tient les épaules en arrière et me donne une posture avantageuse.
Hier j’ai commandé les deux soutiens de chez Etam, j’avais trop envie du balconnet.
Je me rends compte que je suis vraiment fière d'avoir une poitrine.
Au quotidien, j’ai pu comparer les différentes qualités que je trouve aux soutien-gorge que je possède.
Je peux donc maintenant mieux définir ceux avec lesquels je me sens bien et éliminer ce que je ne metterai plus, comme les soutiens bandeaux sans bretelles qui me font une vilaine poitrine.
Voici mes préferences.
En un, les soutiens corbeille sans coque de la marque Etam, me vont bien, mes seins remplissent bien les bonnets et ils sont bien soutenus sans trop les mettre en avant (mais un peu quand même), et pour cause : Etam ne vend pas de soutien-gorge 100A, je me rabats donc sur du 100B, ce qui amenuise l’effet balconnet ils sont plutôt entre corbeille et emboitant. Je les aime vraiment beaucoup, je les porte autant par coquetterie que par provoque car mes seins sont vraiment inévitables avec ces soutien-gorge.
En deux, les soutien-gorge triangles armaturés aussi sans coque me font une poitrine plus discrète que les corbeilles, ils sont plus difficiles à trouver que ceux sans armatures. Malgré ça je les préfère, car ils recentrent mieux les seins. Je possède aussi des triangles sans armature que porte quand un besoin de plus grand confort se fait sentir.
Et en trois, j’ai aussi des soutiens que j’appelle soutien-gorge mous c.-à-d. sans armature et sans coque que je porte plutôt le week-end en mode décontracté.
J’ai choisi cinq soutien-gorge.
Parfois je jette un coup d’œil dans mon décolleté pour admirer ma poitrine dans la dentelle de mon soutien-gorge.
J’adore ça, c’est tellement beau. Quel bonheur de vivre avec des seins.
Prendre des hormones a été une belle décision.
Bonne Année à tous.tes in extremis mais nous sommes encore au mois de janvier.
Hier avec mon épouse on a parlé sous-tif ! Elle venait d’en acheter deux.
Elle n’a pas manqué de mentionner l’inconfort de porter un soutien (oui, je sais) mais qu’elle préfère ça que de sentir ses seins balloter et elle se demandait pourquoi j’en portais malgré cet inconfort.
Je répondis que mes soutien-gorge sont sans doute moins serrés…
Et je me dis intérieurement que si elle m’acceptait telle que je suis, elle ne me comprenait pas mon bigenderisme.
Malheureusement je ne lui ai jamais parlé de mes peurs nocturnes qui ont disparues dès que je me suis affranchie en portant sans plus me cacher mes lingeries et qui ont pris leur place « officiel » dans un tiroir. Elle ne se rend pas compte que pour moi c’est aussi naturel et normal que pour elle.
Juste, elle accepte et c'est déjà pas mal. Non?